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Par LIETARD le 2 Octobre 2020 à 18:24
T-TRAK est un concept de modélisme ferroviaire modulaire normé simple à deux voies qui peut être posé sur des tables ordinaires. Ce terme "table" est d'ailleurs symbolisé par le "T" du logo créé par Lee Monaco en 2002.
Il utilise le standard de voie Kato Unitrack® qui se cararctérise par son fameux connecteur de rail Unijoiner®. Il suffit de pousser sur les deux éléments de voie pour qu'ils s'enclipsent et se solidarisent. 
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Le système d'accroche Unijoiner® possède d'excellentes qualités d'assemblage de la voie tant au niveau du maintien physique qu'un niveau de la connexion électrique. De ce fait, il rempli un double rôle:
d'une part, il maintient deux modules ensemble, d'autre part, il rend inutile des connecteurs électriques particuliers entre les modules.Conséquence, les modules peuvent être assemblés et démontés facilement.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Créé au départ pour l'échelle N (1/160), le T-TRAK est applicable aux échelles HO (1/87), TTm (1/120, écartement de 9mm) et Z (1/220). A noter que, si le HO et le N sont du Kato Unitrack®, les coupures de rail possèdent des systèmes d'accroche identiques. Le Z est un peu différent au niveau du clip de jonction (ergots vers l'extérieur) et est fabriqué par la marque japonaise Rokuhan®.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) T-TRAK possèdent d'autres avantages encore:
Il facilite la manutention...
les dimensions sont restreintes et les modules légers; ils sont aisés à construire, à entreposer et à transporter. Il développe la collaboration...
le petit format attise la motivation de l'individu et l'activité du groupe; le faible impact au sol accroît le nombre des lieux possibles de présentation. Il stimule la création...
le standard permet de composer en dehors des habitudes: au niveau de l'échelle, au niveau de l'époque... il aide à la découverte ou à l'expérimentation de nouvelles techniques de scénographie. Il favorise la sensibilisation...
les modules sont faciles à installer dans des espaces non traditionnels et insolites; ils peuvent susciter chez d’autres l’envie de se lancer dans le modélisme. T-TRAK est un sytème modulaire pour tous
Pour les amateurs
Pas besoin d'un immense cadre de travail ou d'outils sophistiqués pour une création crédible: un crayon, une règle, un cutter... un coin de table suffisent. Pour les passionnés de diorama La taille raisonnable d'un module facilite sa manipulation et permet d'arriver facilement à la concrétisation d'une scène finie. De plus, l'ensemble peut s'intégrer dans une composition plus grande. Pour les modélistes aguerris L'ambiance d'une scène dont on est tombé "amoureux" au détour d'un chemin et qui a développé en nous l'envie irrésistible de la représenter. Pour les modélistes plus agés Une façon aisée pour eux de transmettre aux plus jeunes les compétences en modélisme ferroviaire par le biais de modules, d'images et d'histoire. 
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Par LIETARD le 29 Octobre 2020 à 09:03
Quel diorama pour le module?
N'étant pas trop amateur des grands espaces urbains, de façon assez naturelle, mon choix s'oriente vers un paysage plus campagnard. Il met en scène une voie principale (propre au standard T-TRAK) ainsi qu'une voie secondaire flanquée de deux bâtiments ferroviaires: une gare régionale (1) et une petite halle de marchandises (2). L'ensemble est complété par une garage atelier (3).
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) L'animation vous permet de mieux appréhender ce que sera l'apparence du module.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Concrétisons tout cela. Au travail!
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Par LIETARD le 14 Mars 2021 à 10:00
Depuis toujours, j'ai été séduit par le charme désuet de certains garages de la France rurale. Des batisses rencontrées ici et là le long d'une nationale ou d'une départementale. Beaucoup d'entre-eux avaient connu leurs heures de gloire par le passé et étaient aujourd'hui réduits à être des simples garage-atelier.
Aussi, je décidai qu'une représentation de l'un deux figurerait un jour dans un de mes dioramas. Je le voyais avec sa porte coulissante vitrée bleu, son petit bureau sur le côté dans l'entrée et les publicités peintes sur lesquelles le temps avait fait son œuvre. Après quelques recherches sur la toile, j'ai trouvé de quoi fixer mes aspirations.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Quelques heures d'utilisation de mon logiciel de dessin préféré et "mon" garage-atelier sort de l'imprimante. Deux grammages de papier Canson sont utilisés:
- du 224 gr/m² pour les éléments durs comme les murs en briques de béton du bâtiment ou du bureau, la tôle pour le toit, les bois pour les sous-pentes, les piliers de soutien ou encore la grand-porte en fer coulissante.
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(cliquer sur l'image pour l'agrandir) - du 125 gr/m² pour les éléments légers comme le plafonnage extérieur (pas en très bon état, lol), les murs intérieurs de la bâtisse ou du bureau.
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(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Comme à l'habitude, je pose au pinceau une couche de vernis acrylique mat TALENS AMSTERDAM qui a pour but premier de fixer l'encre des couleurs sur le papier mais dont l'effet second est de donner à l'ensemble un léger lavis qui apporte une petit cachet d'authenticité aux matériaux.
Il est à remarquer que des éléments comme les piliers, la cheminée et le cache de faîte ont été imprimés dans les deux épaisseurs car à la vue de la petitesse des pièces, je ne connaissais pas leur résistance au pliage.
La découpe et le traitement des différents éléments peuvent commencer.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) (cliquer sur l'image pour l'agrandir) (cliquer sur l'image pour l'agrandir)
Je débute par la partie du fond de mur en briques de béton en y enlevant les portes et les châssis qui s'y trouvent.
Une fois cela fait, c'est le tour de la feuille supportant le plafonnage. J'y découpe châssis et chutes à la limite des repères. Je positionne ensuite les différentes pièces.
De la minutie, un peu de temps, le plafonnage est complètement posé laissant apparaître ici et là les brèches provoquées par l'usure du temps. Chaque châssis, après avoir trouvé son vitrage, est placé sur les murs de façade par collage à l'arrière de celui-ci pour donner du relief à l'ensemble.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Occupons-nous à présent du mur et de la finition de l'intérieur du bâtiment.
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Il faut d'abord évider un par un chaque petit carreau des fenêtres. Un travail de patience et de précision.
Ensuite, chaque pan du mur intérieur est découpé un peu plus petit que les dimensions portées à l'impression de façon à donner un peu d'aisance à l'ajustement durant le collage. De ce fait, aucune gêne ne se produira par la suite à la pliure des quatre angles. Un conseil: la découpe des châssis extérieurs (en-haut à gauche) est faite à l'intérieur des traits tandis que celle des châssis intérieurs (en bas à droite) est faite à l'extérieur des traits. Cela évite l'apparition d'une partie de l'intérieur des châssis à travers les vitres donnant sur l'extérieur de la façade. 
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Voici l'ensemble intérieur une fois le collage terminé.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Lorsque le garage est "refermé", on apprécie mieux son volume et les reliefs des châssis.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Le gros du bâtiment étant achevé, je passe au découpage et au pliage des piliers qui se trouveront de part et d'autre de l'entrée mais également au fond de l'atelier.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Les opérations se poursuivent avec la coupe et la construction du bureau (murs extérieurs et intérieurs).
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A remarquer sur ce gros plan, la jointure des briques qui a été nervurée à l'aide d'un porte-mine muni d'une aiguille à broder. Ce type d'aiguille convient parfaitement à ce genre de manipulation vu son bout arrondi (voir ici
). Ce travail de longue haleine donne un "relief" appréciable au mur du bureau qui, au final, sera malheureusement assez caché à l'intérieur du bâtiment.(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Un peu de balsa fera la rambarde en bois, peinte de bleu (Revell Email Color 52), du dessus du bureau qui trouve, lui-même, sa place sur une dalle de béton qui constitue le sol du garage. 
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Cette dalle, une fois mise en place, consolidera l'ensemble du bâtiment.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) L'élévation des murs étant maintenant terminée, il faut penser à la toiture. Je découpe dans le papier Canson 224 gr/m², les tôles de toiture et le bois de la sous-pente qui y avaient été imprimés. Pour des raisons de facilité et d'harmonie de la courbure, les faîtières choisies et découpées sont celles imprimées sur du Canson 125 gr/m².
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Une fois la toiture assemblée (sans les faîtières), elle est collée en place sur le dessus du garage. On finalise alors le montage par la pose des faîtières. Cette façon de faire évite une pliure cassante et donne un arrondi harmonieux à l'angle de la toiture.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Une vue de la sous-toiture...
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Il est à noter qu'avant le collage sur le bâtiment, chaque ligne claires des tôles est retracée à l'aide d'un stylo à bille dont la cartouche est vide et dont la grosseur est proche de celle de la ligne à graver (voir ici
). Cela donne du relief à la toiture comme nous le montre la photo ci-dessous.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Le bâtiment terminé, il reste à penser aux "derniers détails"...
1 La grande porte métallique de l'entrée principale. Sa construction en elle-même ne pose pas de problème: découpe des éléments dans le Canson 224 gr/m² pour donner l'impression de robustesse puis assemblage de la face avant avec le vitrage et par-dessus la face arrière. Voilà le résultat...
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Cependant, souvent par le passé et on peut le remarquer sur la première photo de cet article, la lourde porte était suspendue sur des roulettes métalliques qui permettaient de la faire coulisser sur un rail. Je me dois donc, dans un soucis d'authenticité, de matérialiser ce mécanisme.
Pour le rail (en haut), la partie métallique d'un fil téléphonique provenant du faisceau d'un câble de récupération.
Pour les roulettes (en bas), des morceaux de la gaine plastique que je viens de dégager.
Pour les supports (au milieu), des petits crochets en équerre fabriqués à partir d'un fil de laiton.
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(cliquer sur l'image pour l'agrandir) (cliquer sur l'image pour l'agrandir)
Les rondelles de plastique sont insérées et collées sur la partie courte de chaque crochet. Ensuite, les trois supports sont fixés à égale distance dans le haut à l'arrière de la porte.
Une illustration de la vue avant de la porte. On y distingue de façon assez claire les roulettes qui "glisseront" sur le rail. Un petit coup de pinceau de couleur bleue (Revell Email Color Matt 56), la porte n'attend plus que d'être mise en place.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) 2 La cheminée d'évacuation des vapeurs et autres fumées de l'atelier. Découpe dans le Canson 224 gr/m² de la partie en brique du corps du conduit qui y avait été imprimé. La couverture du muret est débitée en carré dans une triple épaisseur de Canson. Un trou est percé, en son milieu, à l'aide d'un emporte-pièce. L'élément est ensuite peint en acrylique gris avec un lavis acrylique beige par dessus. Le conduit de type "Eternit" est élaboré à partir d'un pic à brochette légèrement aminci et mis en peinture acrylique beige suivi d'un lavis d'acrylique gris. Enfin, le chapeau est réalisé à partir d'un cure-dents plume en plastique surmonté par un sequin (avec ajout d'une pointe de colle pour en fermer le trou). L'ensemble est peint à l'aide d'un acrylique gris.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Voici la cheminée assemblée. On voit que le temps a fait son œuvre comme c'est souvent dans la réalité.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) 3 La fosse de visite de l'entrée du garage. Par le passé, son emploi était quotidien et a rendu d'énormes services. Aujourd'hui, la fosse est condamnée par un plancher en bois et sert souvent de débarras pour des objets devenus inutiles mais que l'on garde dans l'idée du fameux "on ne sait jamais". Je me dois d'évoquer l'existence de cet endroit.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) (cliquer sur l'image pour l'agrandir) (cliquer sur l'image pour l'agrandir)
Délicatement,à l'endroit où doit être placé le plancher, j'évide le sol de béton suffisamment mais sans attaquer le liège.
L'ensemble des traverses de bois est symbolisé par un morceau de balsa dans lequel des nervures sont tracées.
Après la pose d'un lavis brun et puis un noir pour mettre en évidence les nervures, la fosse est refermée 4 Les pneus. Ils ont été empilés à l'entrée du garage. Ce sont de perles bleu foncé qui ont été limées de part et d'autre du trou pour donner l'impression du plat des côtés du pneu. Une fois assemblé, chaque élément est peint avec de l'acrylique gris foncé.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) 5 Bien que le bâtiment soit d'un temps révolu, le garagiste a souhaité jouer la carte de la modernité et doter son atelier d'un pont élévateur.
Le choix se porte sur un pont à deux colonnes que j'ai fabriqué de toute pièce (voir Des ponts élévateurs automobiles ).
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Voici une vue de l'intérieur de l'atelier. On remarquera, vers le bas de la dalle de béton à la gauche de la fosse, l'armoire et la tablette d'outils "Type Facom". 
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) 
Dans le bureau, un table a pris place et quelques documents y sont étalés.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Nous arrivons à la fin de la construction, voilà quatre vues "aériennes" qui permettent d'admirer le bâtiment terminé.
(cliquer sur une image pour l'agrandir) Une dernière photo pour apprécier le bâtiment au raz du plancher des vaches.
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Par LIETARD le 24 Octobre 2020 à 19:16
C'est un premier module droit double que je décide de construire. Comme je ne tiens pas à m'encombrer des problèmes de la menuiserie, je fais le choix de passer par Bois Modélisme qui commercialise des modules découpés au laser dans du médium de 6mm d'épaisseur et dont l'assemblage est facilité par la présence de tenons et encoches à emboîter.
Mis à contribution, mon ami Emile a posé quelques points de colle, a effectué un serrage rigoureux de l'ensemble. Après séchage, mon premier module est prêt à l'emploi.
Vous remarquerez, le module étant posé sur sa face avant, que le plateau dépasse et est en porte-à-faux par rapport à la face arrière du socle du module.
Cette façon de procéder permet, tout en étant en accord avec la norme pour la base, d'avoir à ma disposition un plateau utile de 618mm x 340mm pour le diorama. Pour la fixation du fond de décor, je verrai le moment venu.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Lorsqu'on s'intéresse au dessous du module, on constate que l'assemblage du kit a laissé aux 4 coins de la structure un petit espace de 38mm de côté. Chacun d'eux est prêt à accueillir un bout de tasseau qui servira de pied.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) 
Pour l'ajustement de la hauteur du plateau, j'opte pour un système que j'ai découvert lors d'une exposition consacrée au T-TRAK. Il consiste à effectuer le réglage de la hauteur d'un pied, à l'aide d'un tournevis ou d'une clé Allen, par le dessus du module à travers un orifice de quelques millimètres percé dans la surface du plateau.
En vissant, le module monte et en dévissant, il descend.
Cette technique permet de régler de façon aisée et précise la hauteur du module posé sur la table pour qu'il s'adapte aux modules adjacents.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) Voici un plan détaillé avec les différentes cotations et les fournitures nécessaires à un tel montage.
A remarquer l'utilisation d'une vis à 6 pans ce qui réclame l'usage d'une clé Allen. Cependant, une simple vis à têtes plate aurait tout aussi bien fait l'affaire.
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Voilà la concrétisation de mes idées: un pied.
A gauche, le côté "Ecrou en T" (T-Nut) vers l'extérieur du module.
A droite, le "tube" dans lequel la vis va s'engager pour, selon son mouvement, faire monter ou descendre le module.
Il ne reste plus qu'à réunir l'ensemble.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) (cliquer sur l'image pour l'agrandir) Sur la photo de gauche, on voit clairement la tête de vis qui coulisse à l'intérieur de sa "gaine" pour se visser, photo de droite, dans le "T-Nut" et supporter l'écrou borgne dont le bout arrondi posera sur la table de présentation.
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Chaque pied est ajusté à son alvéole.
Il faut repérer exactement où forer le trou de visite.
Le truc de mon ami Emile: un peu de craie sur la tête de la vis, mise du pied en position, un petit tapotement, on retire le pied et la craie s'est déposée à l'endroit où le forage doit être effectué.
Le pied retiré le forage peut être exécuté avec précision.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) (cliquer sur l'image pour l'agrandir) 
Pour maintenir le tasseau-pied en position, une petite vis est préférée à la colle. En cas d'un éventuel problème au mécanisme du support, l'ensemble serait ainsi démontable et la réparation pourrait être d'effectuée plus facilement.
(cliquer sur l'image pour l'agrandir) (cliquer sur l'image pour l'agrandir) Aux quatre coins du module, la tête de la tige filetée effleure le dessous du plateau lorsque la hauteur de l'ensemble est à 70mm. La perforation est juste faite pour laisser passer l'outil qui permettra de manoeuvrer la vis. Il suffira de faire disparaître l'orifice dans un élément de décor qui sera laissé volontairement amovible. Le tour est joué! 
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